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Communiqués

 Votations du 11 mars

Mis en ligne le 21 février 2012

Recommendations de vote :

VOTEZ OUI à la réglementation du prix du livre

Ce qui est en jeu avec la réglementation du prix du livre, c’est la diversité culturelle. En effet, les petites librairies ne font pas le poids face aux bas prix des grandes chaînes de distribution. À long terme, ceci va mener à un plus grand contrôle du marché par les gros distributeurs. Le livre est un bien culturel, pas une marchandise ! VOTEZ OUI !

VOTEZ OUI à l’initiative pour en finir avec les constructions envahissantes de résidences secondaires

La Suisse est un petit pays où la valeur du sol est devenue exorbitante. Une grande partie de la population suisse n’est pas propriétaire de son logement. La surface agricole diminue. Le sol devrait être un bien commun et non bénéficier aux riches. Cette initiative demande l’instauration d’un plafond uniforme de 20% applicable à la construction de résidences secondaires en Suisse. VOTEZ OUI !

VOTEZ OUI à l’arrêté fédéral concernant la réglementation des jeux

En principe, le POP n’est pas partisan d’une société qui finance une partie de sa politique culturelle et sociale (AVS, AI) grâce aux jeux d’argent. Cependant, le démantèlement social causé par les néolibéraux nous oblige à défendre cette initiative pour que tous ces acquis ne disparaissent pas. VOTEZ OUI !

VOTEZ NON à l’initiative populaire sur l’épargne-logement

Comme toujours, les cadeaux fiscaux dans notre pays sont destinés aux riches, pas aux travailleurs ! Pour qu’une partie déjà aisée de la population puisse s’acheter un logement, l’initiative propose une diminution des impôts, donc une réduction de l’État social. VOTEZ NON !



 Votations du 11 mars

Mis en ligne le 21 février 2012

Le débat sur les 6 semaines de vacances montre une fois de plus la contradiction entre capital et travail. D’un côté, les patrons et leurs porte-paroles au gouvernement, de l’autre les travailleurs.

L’objectif des capitalistes est toujours de payer la force de travail le moins possible, pour augmenter leur profit. Cette logique a conduit à la situation suivante : dans les néo-colonies du Sud, les travailleurs ne gagnent presque rien. 1,4 milliard de personnes survivent avec moins d’un dollar par jour. Cette main-d’œuvre bon marché pousse les multinationales à délocaliser la production. Les travailleurs européens en paient les frais ! La situation actuelle de la Grèce en témoigne : diminution des salaires, démantèlement de l’État social et pillage de la richesse du peuple grec, qui doit maintenant payer la crise causée par les riches.

En Suisse, entre 1993 et 2010, la productivité du travail a augmenté de 40,4% alors que les salaires réels n’ont augmenté que de 7,2%. Imaginons un travailleur qui gagnait 4000 francs par mois en 1993 : il gagne aujourd’hui 4288 francs. En revanche, l’entreprise qui produisait pour 4000 francs de marchandises en produit aujourd’hui l’équivalent de 5616 francs ! Cela signifie que les bénéfices réalisés grâce à l’augmentation de la productivité ne vont pas aux travailleurs, mais aux capitalistes !

La durée de la vie professionnelle est de 40 à 45 ans. Mais à cause de la surexploitation des travailleurs, de moins en moins d’entre eux arrivent à tenir jusqu’à l’âge de la retraite et les dégâts au niveau de la santé sont énormes : stress, dépression, troubles du sommeil, maux de tête et de dos et problèmes cardio-vasculaires.

Pour toutes ces raisons, la prolongation de la durée des vacances ne doit pas être considérée comme un cadeau fait aux travailleurs suisses. Les 6 semaines de vacances sont déjà une réalité pour les hauts revenus et pour les personnes occupant des postes à responsabilité. Ce n’est que justice que les travailleurs bénéficient, eux aussi, de l’augmentation de la productivité.



Textes

 Motion : « Val-de-Travers, commune sans OGM »

Mis en ligne le 20 février 2012

Actuellement, la législation fédérale est restrictive quant à l’utilisation d’OGM en
plein champs, limitant les parcelles ensemencées avec des OGM à des essais liés a des programmes de recherche précis. Mais aucune garantie quant à la dissémination d’OGM sur une large échelle n’est acquise à terme. C’est pourquoi une campagne nationale d’action « commune sans OGM » vise à empêcher cette dissémination en cas de changement d’orientation de la politique fédérale (qu’ils soient liés à la pression de lobbies ou à des accords contraignants avec l’Union européenne). La campagne « commune sans OGM » s’inscrit dans un mouvement européen des régions sans OGM (www.gmo-free-regions.org)

Les risques liés aux OGM ne peuvent pas être mesurés car les gènes introduits dans les plantes cultivées se retrouvent dans d’autres organismes, pouvant provoquer, suivant les cas, des maladies, des affaiblissements des organismes, la stérilité d’autres plantes, etc. Aucun essai en laboratoire ne peut tenir compte de l’ensemble des paramètres touchés par la présence d’OGM. De plus, l’opération est irréversible : Une fois dans la nature, il est impossible de « récupérer » un gène ayant « infecté » une espèce sauvage ou cultivée.

Enfin, la liberté de choix des agriculteurs pour l’achat de leurs semences est menacée
par le monopole exercé par quelques multinationales qui pourront augmenter à volonté
le prix de leur semences, menaçant la survie de nos exploitations agricoles et, à terme,
la souveraineté alimentaire de notre pays.

C’est pourquoi nous demandons au Conseil communal de proposer un moyen visant à
interdire l’utilisation de plantes et d’animaux de rente génétiquement modifié sur
l’ensemble du territoire communal de Val-de-Travers
.

Argumentaire à l’appui de notre motion

« Val-de-Travers, commune sans OGM »

Contamination
Les cas de contaminations autour de la planète ne cessent d’augmenter. Ces dernières peuvent avoir lieu par flux de pollen ou de graines ou par un manque d’étanchéité des filières (lavage des machines, stockages, transports…).
Les OGM s’accompagnent d’un brevetage du vivant. En cas de contamination, le contaminé doit payer des royalties à l’entreprise semencière ! ►voir le cas de Percy Schmeizer au Canada.
Il n’est pas encore clair qui sera tenu responsable en cas de contamination.

Coexistence
Aujourd’hui, il est clair est sans aucun appel que la culture d’OGM et la culture de plantes conventionnelle ne peuvent coexister. Cette dernière l’est encore moins dans le paysage agricole suisse constitué de petites surfaces encastrées les unes dans les autres. De plus aucune régulation n’est encore en place en cas de culture de plantes génétiquement modifiées (PGM), les filières Bio, IP-suisse et autres labels excluant les OGM seraient menacés et par conséquent le libre choix des consommateurs aussi. Ceci malgré le fait qu’une large majorité de la population refuse de consommer des aliments GM.
Il a aussi été démontré que le surplus de temps (information sur le plan d’assolement de ses voisins pour garantir les distances de sécurité), d’énergie (contact avec tous les voisins) et de coût que l’agriculteur, qui désire une production garantie sans OGM, serait contraint d’endosser est complètement démesuré. Aussi le danger est-il grand qu’en cas de culture d’OGM, il ne soit plus possible de garantir une production locale exempte de manipulations génétiques.
Que la Suisse renonce aux cultures de PGM est un avantage commercial pour l’agriculture suisse. Ce moratoire évite aux agriculteurs de devoir se lancer dans des procédures judiciaires sur les distances entre les cultures ; et le secteur de l’alimentation économise d’énormes coûts de séparation des filières. La prolongation de ce moratoire crée aussi une sécurité légale, car l’Ordonnance fédérale sur la coexistence et différents instruments d’application ne sont pas encore prêts.

Liberté d’accès aux semences
La liberté de choix des agriculteurs pour l’achat de leurs semences est menacée par le monopole exercé par quelques multinationales qui pourront augmenter à volonté le prix de leurs semences, menaçant la survie de nos exploitations agricoles et, à terme, la souveraineté alimentaire de notre pays.

Des semences inadaptées
Actuellement les firmes chimiques (Monsanto, Syngenta, BASF, DOW,…) possèdent plus du 80% du marché des semences et rachètent tous les semenciers (concentration du marché). Il en résulte que les semences transgéniques sont réalisées dans le but de vendre les produits chimiques (herbicides) appartenant aux mêmes firmes. Ces semences ne répondent en aucun cas au besoin d’une agriculture durable.

Argument économique
La politique agricole suisse privilégie des produits de qualité qui excluent les OGM.
Le moratoire en vigueur n’a entraîné aucun problème perceptible aux plans de l’agriculture, de la recherche et des relations internationales jusqu’à présent. Au contraire : l’agriculture suisse a pu se profiler comme agriculture exempte d’OGM par rapport à d’autres pays de production.

Culture de PGM en Europe
La culture de PGM est marginale et en déclin dans l’UE ; le maïs MON810 est la seule PGM dont la culture est autorisée, mais ne couvre que 0.8% de toutes les surfaces cultivées en maïs dans l’UE des 27. Et les surfaces cultivées en MON810 ont diminué de 20% entre 2008 et 2009. Le moratoire suisse correspond au scepticisme largement répandu en Europe à l’encontre des PGM. Les régions sans OGM grandissent. Il est prévisible que la compétence d’autoriser des PGM se déplacera de la Commission européenne vers les États membres. Cela conduira à des moratoires nationaux sur les cultures de PGM.

Agriculteurs et consommateurs
Toutes les organisations paysannes qui se sont exprimées dans le cadre de la procédure de consultation sur le message du Conseil fédéral sont expressément d’avis qu’il n’y a aucun besoin de cultures commerciales de PGM et que l’actuel moratoire a apporté des avantages à l’agriculture suisse. L’attitude claire des organisations paysannes est confortée par le rejet des aliments contenant des OGM de la part des organisations de consommateurs.



Interventions

Séance du Conseil général du 14 décembre 2011

 Ville de La Chaux-de-Fonds - Intervention de Pascale Gazareth sur le budget 2012

Mis en ligne le 22 décembre 2011

Mesdames et Messieurs, Monsieur le président,

Le POP acceptera le budget 2012 en se réjouissant du résultat qu’il propose, encore un peu plus près des étoiles de l’équilibre que l’année passée. Le meilleur budget budget depuis 10 ans, lit-on dans le rapport de Conseil communal. C’est vrai, du moins au plan comptable. Mais qu’en est-il au plan politique ?

Au niveau des dépenses, les budgets Biens et marchandises ordinaires ont connu un nouveau tour de vis dans l’ensemble des dicastères. Ce n’est pas grâce à nous que les fournisseurs de matériel de bureau maintiendront leurs marges cette année.

Les dépenses de personnel augmentent, pour assurer la sécurité dans certains services, pour soulager un peu ceux qui étaient trop peu dotés depuis trop longtemps, ou pour mener à bien des projets dont on attend des retours sur investissement. Qu’on se rassure, rien de somptuaire, la Chaux-de-Fonds n’y perdra pas son rang au classement des dépenses par habitant. Nous sommes satisfaits de constater que l’appel à donner un peu d’air dans nos services communaux a été entendu. Satisfaits aussi qu’aucune nouvelle mesure d’économie sur le personnel n’aie été prise cette année, hormis un léger rabotage sur les échelons qualitatifs. Et à condition de ne pas tenir compte des efforts qui devront être consentis au niveau de la caisse de pension, dont le « tiers cotisant », le marché financier sur lequel les avoirs des caisses sont placés, a déclaré forfait. Un risque que personne n’a voulu croire et encore moins, anticiper mais que le POP avait dénoncé lors de la mise en place de la LPP.

Les factures issues des tâches collectives encore entremêlées et les reports de charges cantonaux ont continué leur inquiétante progression. Crèches, transports, et aide sociale coûteront cette année encore un peu plus que l’année précédente, voire beaucoup plus. Et cela sans que nous puissions y intervenir réellement. Nous sommes conscients de la nécessité de développer l’accueil extrafamilial des enfants et nos infrastructures de transports. Nous avons entendu les milieux économiques nous dire que ces éléments sont importants pour l’implantation de nouvelles entreprises et le maintient de celles en place. Nous nous questionnons néanmoins sur le mode de financement de ces infrastructures, quand les milieux qui les appellent de leurs vœux sont à la fois les premiers à en créer le besoin et peu empressés à mettre la main au porte-monnaie pour les financer. En créer le besoin en offrant peu de possibilité de temps partiel, surtout aux pères, en demandant des heures supplémentaires au lieu d’engager du personnel, en poussant à la propriété du logement qui limite notre mobilité résidentielle mais fait grimper nos transports pendulaires. Et les financer en acceptant une fiscalité moins compétitive mais capable de payer les infrastructures mises en place par les collectivités publiques, en proposant des cofinancements, en payant leurs impôts là où sont leurs activités réelles ou en finançant eux-mêmes une partie des crèches et des bus nécessaires pour que leur personnel soit à l’heure au travail.

Quant à l’aide sociale, sa progression depuis les années 1990 fait mal à nos budgets, certes, mais elle fait surtout mal à nos concitoyens et concitoyennes. Les personnes impliquées auprès des populations économiquement défavorisées font toutes le constat d’une dégradation marquée depuis la dernière crise de 2008. La pauvreté est aujourd’hui une réalité pour une partie de nos voisins et amis. Une vraie pauvreté, durable, qui accable l’esprit autant que le porte-monnaie. Celle qui vous fait sentir que vous ne servez à rien, que vous ne valez rien. Les distributions de nourriture gratuite ou à très bas prix n’ont pas fleuri pour rien ces derniers mois : ce sont des indicateurs fiables de cette paupérisation qui nous inquiète pour celles et ceux qui la subissent. Et qui nous scandalise en pensant à celles et ceux qui invoquent la concurrence pour refuser un salaire minimum pour leurs employés mais qui invoque cette même concurrence pour justifier pour eux-mêmes des bonus mirobolants et des salaires à 5 zéros, ou qui réclament le droit de défiscaliser les travaux de la quatrième cuisine qu’ils font poser depuis 2 ans dans la troisième de leurs résidences secondaires ou les bouteilles de champagne dont leurs rejetons ont rempli la piscine pour épater leurs amis lors d’une soirée qui passera fiscalement pour un « event » de l’entreprise familiale.

Et à celles et ceux qui trouvent que le social coûte trop cher, nous aimerions un jour présenter la facture de ce que coûte la richesse, si l’on met bout à bout les terrains qu’on équipe, les crèches, les bus, les autorisations de construire, les infrastructures hôtelières ou de congrès dont on soutient le développement, les salaires complétés par l’aide sociale, la formation de la main-d’œuvre, le maintien d’un parc de logement permettant d’éviter les conflits sociaux quand les salaires sont bas, les mesures de promotion économique et d’aide à la création d’entreprises, l’aide aux chômeurs en fin de droit qui évite de relever les cotisations des employeurs à l’assurance chômage, etc., etc., etc.

Au chapitre des recettes, nous ne manquerons pas de rappeler que la Chaux-de-Fonds touche une part de l’impôt des personnes morales largement trop basse par rapport au PIB produit sur son territoire, au nombre d’emplois qu’elle offre à toute la région et aux efforts de promotion économique qu’elle déploie au bénéfice de tout le canton. Rappelons que cela se répercute directement sur le niveau de notre fiscalité des personnes physiques. Nous attendons toujours que les autorités cantonales, compétentes en la matière, proposent une vraie solution, juste et équilibrée, à cette situation. Et une solution différente de simplement tout fusionner. Car si la fusion des communes facilite les discussions en réduisant le nombre d’interlocuteurs, elle est d’abord l’aveu de l’échec de notre démocratie directe et participative et marque l’abandon de l’Etat qui baisse les bras face au désinvestissement citoyen plutôt que de le combattre. De ce point de vue, nous nous inquiétons de la faible participation en ville lors des derniers scrutins populaires. Pour construire l’avenir de cette ville, nous avons besoin de travailler avec la population, et pas contre elle ou sans elle. Et pour cela, elle doit se sentir impliquée et écoutée.

Pour en revenir au budget 2012, nous aimerions saluer l’effort du Conseil communal pour développer des outils de maîtrise de nos investissements. Les critères développés permettent de faire des choix de manière plus judicieuse, en meilleure connaissance de cause. Pour nous, ces critères ne doivent pas servir de barrières rigides, mais de marqueurs pour savoir où l’on va. Les taux d’intérêts très bas nous permettent d’envisager une politique active qui marque notre volonté de développer cette ville et de préparer son avenir. Et cela malgré les nuages noirs de la tempête financière qui menace l’économie européenne et mondiale. Ce genre de tempête, la Chaux-de-Fonds en a déjà connu beaucoup, et elle a toujours pu les traverser, même si cela n’a pas toujours été sans dégâts. Ce qui nous inquiète plus aujourd’hui, ce serait plutôt l’épais brouillard qui commence à monter du Littoral. La récente déclaration de la ville de Neuchâtel à propos de l’hôpital a retenu toute notre attention. Il faudra guetter d’autres déclarations pour savoir s’il ne s’agit que d’une attaque isolée ou si elle représente, après le psychodrame de la fusion TN-TRN, un Pearl Harbour neuchâtelois, une déclaration de guerre contre l’esprit du Run, contre la stratégie « Un canton, une vision », contre les projets de collaboration entre les villes et l’autorité cantonale sur les grandes infrastructures scolaires, hospitalières, culturelles ou de transport. Face à la manne financière qui devrait lui tomber dans l’escarcelle avec la nouvelle fiscalité des entreprises, la capitale cantonale semble vouloir changer sa stratégie et se poser en centre cantonal unique. Notre ville, et plus largement les territoires hors Littoral urbanisé, sont directement menacés par la construction d’un Grand Neuchâtel. Car nul ne peut douter que pour se construire, celui-ci tournera le dos à un développement cantonal global au profit d’une concentration d’un maximum de ressources, d’infrastructures et d’investissements cantonaux. La saignée que nous vivons dans ce domaine depuis de trop nombreuses années dans les Montagnes sans réelle compensation ne pourra alors que s’accélérer. L’exemple du Locle nous montre qu’on peut voir sa situation financière s’améliorer sans pour autant se prendre pour les maîtres du monde.

C’est donc à la fois avec reconnaissance pour le travail de celles et ceux qui nous permettent de vivre ici aujourd’hui et de croire en notre avenir, et avec la conscience des difficultés qui nous attendent potentiellement, que nous accorderons au Conseil communal les moyens de poursuivre la politique générale qu’il nous propose pour notre ville via ce budget 2012.

Pour le POP, Pascale Gazareth



 A propos de l’émission RSR du 21.12.2011 sur les prix du vin

Mis en ligne le 21 décembre 2011

Les interventions des viticulteurs invités à débattre sur un meilleur contrôle des importations de vin était très intéressante. Je partage leurs soucis et leurs propositions. Mais, j’ose imaginer qu’ils ne sont pas politiquement liés aux partis de gauche, en particulier du POP. Alors que les décisions prises sur les importations de vin répondent à un libéralisme éhonté soutenu par les économistes libéraux et les financiers du même bord.

Donc que des viticulteurs réagissent contre la pression du marché en demandant une réponse collective contre trop d’individualisme me permet de recevoir cette position comme un cadeau de Noël !

Alain Bringolf




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POP neuchâtelois  |   Dernière mise à jour: le 15 mars 2018

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