Le grand copain du président, l’administrateur de Genolier, Antoine Hubert, a exprimé récemment dans une émission télévisée un credo partagé avec succès par l’ensemble de ces hommes : les prestations du service de la santé peuvent être comparées avec la vente du chocolat… ou les émissions de la radio et de la télévision ! La limite entre les responsabilités publiques et les affaires privés est-elle définitivement perdue ? Vive la démocratie bourgeoise ou capitaliste ! Et dire que ces personnages sont les partenaires du Conseil d’Etat neuchâtelois. Il ne faut toutefois pas s’en étonner, c’est une question de valeurs… vive le fric !
Rédaction